Événements

15e Printemps des sciences humaines et sociales - Penser le changement climatique

Étés caniculaires, crues dévastatrices, villes côtières menacées, biodiversité qui s’effondre… Les effets du dérèglement climatique sont là et affectent déjà notre quotidien. A-t-on encore, aujourd’hui, les moyens de ne pas s’en soucier ? N’est-il pas temps, pour nos sociétés, de remettre en question nos modes de vies comme nos manières de penser ?

À l’occasion de son 15e Printemps des sciences humaines et sociales, la Maison Européenne des Sciences de l’Homme et de la Société vous invite à dialoguer avec des chercheurs-euses et des acteurs-ices qui, depuis leurs disciplines et leurs positions respectives, remettent en perspective la crise climatique et explorent de nouvelles pistes pour aujourd’hui et pour demain.

Parmi les questions soumises à leur analyse : le droit constitue-t-il un outil efficace pour lutter contre l’inaction climatique et protéger les écosystèmes comme les populations les plus vulnérables ? Les sciences économiques peuvent-elles être un terrain d’expérimentations pour mettre en place de nouvelles organisations, plus locales et plus durables ? Et que dire de nos propres contradictions, à l’échelle individuelle ? Pourquoi décide-t-on un jour, universitaire, étudiant, citoyen, de s’impliquer dans des actions militantes, voire radicales ?

Le Printemps des sciences humaines et sociales est une manifestation ouverte à toutes et tous. Elle propose treize rencontres, ateliers, conférences. L’entrée est gratuite, sur réservation (accessibles sur les pages web des événements).

Pour organiser cet événement, la MESHS s’est associée à : Sciences Po Lille, la Bibliothèque Humanités (Université de Lille), la ChairESS Hauts-de-France, l’atelier Canopé de Lille, l’Université du temps libre de Lille, l’Ecole supérieure de journalisme de Lille, les associations étudiantes La Ruche et Alter Eco (Sciences Po Lille) et la Maison Régionale de l'Environnement et des Solidarités (MRES). Cet événement est organisé avec le soutien du Conseil régional Hauts-de-France.